One thought on “n°32 – 2006 – 02”

  1. Je me suis senti compris par ce qu’a écrit Remy Caveng, moi qui aimais déjà la sociologie. Merci beaucoup de cette contribution qui m’a permis de soigner un peu mes maux par les mots justes, ceux qui dépeignent une réalité qui ne frappait pas que moi. Ainsi je ne souffre plus de ce plafond de verre qui enferme les enfants d’ouvrier dans un jeu de rôle intolérable. Je l’accepte comme une fatalité qui ne m’empêche pas d’avancer sur ce qu’il me reste : cultiver mon bien-être malgré tout !

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